Eine Liebe aus Nichts.

Type
Book
Authors
ISBN 10
3499132451 
ISBN 13
9783499132452 
Category
Fiction/Littérature  [ Browse Items ]
Publication Year
1993 
Publisher
Pages
105 
Subject
Allemand Fiction 
Abstract
Wie es sich anfühlt, nirgends zu Hause und überall nur mit halbem Bein zu sein, das kann man aus diesem kleinen Büchlein erfahren.
Die Icherzählerin berichtet in lakonischen und teils komischen Sätzen, wie es ihr geht auf ihrer Wanderschaft zwischen verschiedenen Städten und Ländern.
Geboren von einer bulgarischen Mutter und einem deutschen Vater, Juden beide, die Verfolgungen und vielfache Flucht hinter sich hatten; Vater und Mutter jeweils mehrfach geschieden und schließlich in Ostberlin gelandet, hat sie sich weder beim einen noch beim anderen wirklich zu Hause gefühlt. Bei der Beerdigung des Vaters gedenkt sie der Begegnungen, immer nur flüchtig, nie wirklich nah, die sie mit ihm hatte. Nun ist sie in Paris, wohin sie immer schon wollte. Keineswegs komfortabel ist ihr Leben, denn sie lebt im Souterrain einer Wohnung. Dort ist es dunkel, und sie sieht die vorbeimarschierenden Beine der Passanten. Was will sie eigentlich hier?
Man weiß es nicht, und sie weiß es wohl selber nicht. Weg wollte sie aus Berlin, wo sie am Theater als Assistentin des Dramaturgen arbeitete. Man wollte ihre Stelle nicht verlängern.
In Weimar, dem letzten Wohnort des Vaters mit seiner vierten und letzten Frau, hat sie in den Überbleibseln seines Lebens nach Erinnerungen gesucht. Alles blieb immer nur flüchtig.
Die Mutter ging zuletzt nach Bulgarien zurück, wo sie ursprünglich her kam. Bulgarisch war ihre Sprache und zuletzt konnten Tochter und Mutter nicht mehr kommunizieren: die Mutter hatte alle anderen Sprachen verlernt, und die Tochter bulgarisch nie gelernt.
Das Leben besteht aus flüchtigen Erlebnisskizzen, die in drolliger und komischer Diktion vorgetragen werden. Man liest diese Lebensabrisse, erfährt über ein Leben ohne Lebensmittelpunkt und ist angerührt von der Fassung, mit der dieses Dasein im Vorübergehen gelebt und ertragen wird.
Amerika als letzter Fixpunkt steht in der Ferne als Möglichkeit,--mit Jean-Marc, den B.Honigmann in Paris trifft. Seine Eltern stammten aus Riga und leben nun schon lange in NY, wohin es sie auf der Flucht vor den Nazis verschlagen hat.
Jüdische Schicksale! Hier finden sie sich vereint als Weltbürger, deren Bleiben nirgendwo von Dauer ist.
Kann man sich das überhaupt vorstellen?
<'Eine Liebe aus nichts, in der nichts passiert und die sich endlos im Nichts verliert.'> So verrinnt die Zeit, die Jahre und das Leben.
Die Erzählung ist leicht, unbeschwert, zugleich ernsthaft und nachdenklich und entbehrt nicht der Komik und gleichzeitigen Melancholie. 
Description
Résumé : L'histoire de la relation entre une fille et son père. Barbara Honigmann raconte son enfance à Berlin-Est, ses parents divorcés et pourquoi elle a finalement quitté la RDA.

Ce que l'on ressent lorsqu'on n'est nulle part chez soi et partout où l'on n'a qu'une demi-jambe, vous pouvez l'apprendre dans ce petit livret.
La narratrice à la première personne nous raconte dans des phrases laconiques et parfois comiques comment elle se sent dans ses errances entre différentes villes et pays.
Née d'une mère bulgare et d'un père allemand, tous deux juifs qui avaient été persécutés et avaient fui plusieurs fois ; père et mère divorcés plusieurs fois et finalement arrivés à Berlin-Est, elle ne se sentait chez elle ni dans l'un ni dans l'autre. Aux funérailles de son père, elle se souvient des rencontres qu'elle a eues avec lui, toujours fugaces, jamais très proches. Maintenant elle est à Paris, là où elle a toujours voulu aller. Sa vie est loin d'être confortable, car elle vit dans le sous-sol d'un appartement. Il fait sombre là, et elle voit défiler les jambes des passants. Qu'est-ce qu'elle fait ici ?
Tu ne le sais pas, et elle ne le sait probablement pas elle-même. Elle voulait quitter Berlin, où elle travaillait au théâtre comme assistante à la dramaturgie. Ils ne voulaient pas prolonger son emploi.
A Weimar, dernier lieu de résidence du père avec sa quatrième et dernière épouse, elle cherchait des souvenirs dans les vestiges de sa vie. Tout était toujours fugace.
Sa mère est retournée pour la dernière fois en Bulgarie, d'où elle est originaire. Le bulgare était sa langue et à la fin, la fille et la mère ne pouvaient plus communiquer : la mère avait oublié toutes les autres langues et la fille n'avait jamais appris le bulgare.
La vie se compose de croquis d'expériences éphémères, qui sont présentés dans une diction drôle et comique. On lit ces démolitions de la vie, on apprend une vie sans centre de vie et on est touché par le calme avec lequel cette existence est vécue et endurée en passant.
L'Amérique comme dernier point fixe est une possibilité au loin, avec Jean-Marc, que B. Honigmann rencontre à Paris. Ses parents venaient de Riga et vivaient à New York depuis longtemps, où ils avaient fini par fuir les nazis.
Destins juifs ! Ici, ils se retrouvent unis en tant que citoyens du monde, dont le séjour n'est pas permanent.
Pouvez-vous imaginer ça ?
C'est ainsi que le temps, les années et la vie passent.
Le récit est léger, insouciant, sérieux et réfléchi à la fois et ne manque pas de comédie et de mélancolie à la fois.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator 
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