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To all appearances, Laurence Passmore is sitting pretty. True, he's almost bald and his nickname is "Tubby," but the TV sitcom he writes keeps the money coming in, he has an exclusive house in Rummidge, a state-of-the-art car, a vigorous sex life with his wife of thirty years, a flat in London, and a platonic mistress to talk shop with on his regular business trips. What his money can't buy, and his many therapists can't deliver, is contentment. It's not the trouble behind the scenes of his TV show that is bugging him, or even the persistent pain in his knee which expensive surgery fails to alleviate. It's a deeper, nameless unease, and his quest for the source of it will lead him into an obsession with Kierkegaard, brushes with the police, gossip-column notoriety, and strange beds and bedrooms worldwide. As his ordered life threatens to unravel, Tubby struggles to tie up the ends by going back to the beginning - to South London, his first love, and an act of bad faith which he had suppressed but never entirely recovered from. 

Compétences : Lire Débutant complet : non
Thèmes : Culture et civilisation
Documents inclus : Texte littéraire original
Descriptif : Roman
Résumé : Rien ne devrait le tracasser Lawrence (Tubby) Passmore. Pourtant , il est dépressif , et un mal au genou inguerissable ne fait rien pour arranger les choses. Alors il se consacre à son travail et se raccroche à toutes sortes de thérapies. Il va même jusqu'à cultiver une curieuse ressemblance avec Kierkegaard. Et là c'est le drame (^^) ,sa femme à qui il est fidèle depuis 30 ans malgré les sollicitations, décide de le quitter . Rien ne va plus pour Tubby ... Il part à la recherche d'aventures tous plus désastreuses les unes que les autres en voulant rejouer la vie de Kierkegaard. Un roman très agréable, interessant, sans être enthousiasmant non plus... Il prend la forme d'un journal intime avec des passages 'fictifs' où Tubby prend le point de vue d'autres personnages. La première partie est absolument réjouissante, elle est essentiellement basée sur la description des thérapies , de son mal-être. C'est très second degré, décapant , bref c'est charmant . Mon meilleur passage , la description d'une journée de tournage avec un public récalcitrant. Les autres parties se lisent bien aussi , mais le récit prend le dessus , c'est moins drole. L'histoire n'en reste pas moins interessante jusqu'à la thérapie finale.